Sur 1 093 enfants diabétiques turcs (pays à taux élevé de consanguinité), 3,1% (34) avaient un diabète monogénique dont 41% (14/34) autosomiques récessifs (1,6% dans la cohorte britannique). Pour détecter tous les diabètes monogéniques, il est crucial d’inclure les gènes récessifs dans les puces et de sélectionner les enfants à tester s’ils présentent des manifestations extra-pancréatiques.